Loin de moi l’idée de verser dans la gaudriole ou la vulgarité mais au jeu des 7 familles si j'avais le choix, dans la famille Joly, je dois avouer que bien très sensible aux arguments développés je préfèrerais piocher Angelina, la petite sœur, plutôt qu’Eva.
Il serait, en effet, un rien hypocrite d’affirmer que le côté glamour ‘fin de saison’ de la représentante des verts évoquât en moi des pensées aussi égrillardes que la plantureuse actrice. Inutile de hurler au sexisme et au machisme, je le sais, je mérite d'être cloué au pilori pour de tels propos mais je ne suis qu'un vieil orang-outang sans manières et puis personne ne lit ce blog, alors bon.
En revanche, et je ne suis pourtant pas bégueule, que madame Morano, qui à elle seule allie le raffinement du parpaing de 12 à l'élégance agricole de la Beuglante du Roussillon ( race bovine qu’on croyait disparue), se permette de proclamer publiquement que ‘ Le problème d'Eva Joly ne vient pas que de son accent, c'est aussi physique’, me laisse à penser que parmi les têtes à claques qui arpentent l’Assemblée, certaines devraient sans restriction être autorisées au cumul des mandales.