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  • ricardosalvador2

Le sirtaki, c'est comme le pas de l'oie, faut du rythme.

En 1932, un petit moustachu spasmophile profitait de la crise mondiale pour créer le national socialisme sous l’œil narquois des politiques goguenards. En 10 ans, il ravage le monde sous l’œil toujours aussi incrédule mais un peu moins amusé des mêmes spécialistes avisés.

Près d’un siècle plus tard, un nostalgique de la croix gammée ( Du Grec croixgammos qui veut dire nazi) bedonnant et rougeaud nous refait le même coup, en Grèce, cette fois-ci. La Grèce, bourrelée de remords d’avoir inventé la démocratie est donc passée par la junte des colonels dans les années 70 pour en arriver enfin à un truc un peu plus viril digne d’Ajax et d’Achille.

Nikos Michaloliakos, c’est son nom, a donc réussi à faire élire 21 députés ! C’est pas rien 21 députés, ça doit bien nous faire en gros 2 millions de votants. Deux millions d’Hellènes et les glaçons à faire froid dans le dos.

Pour couronner son entrée dans l’arène politique, le fantoche de sa voix nazillarde a ordonné aux journalistes présents lors de sa conférence de presse de se lever en signe de respect ou bien de quitter les lieux.

Vous allez rire, seuls quelques-uns sont sortis, les autres ont servi la soupe à Adolfos Nazipoulos.

Cela s’appelle la position du journaliste couché.

La prochaine fois, il leur demandera de faire le salut Hitlerien en tendant le bras, vous verrez qu’ils vont obtempérer comme un seul homme.

Sauf peut-être la Vénus de Milo mais elle, c'est une femme.

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